© Nathalie Wolff & Matthias Bumiller |
mercredi 4 novembre 2015
ECLIPSE PARTIELLE / NATHALIE WOLFF & MATTHIAS BUMILLER
dimanche 18 octobre 2015
L'AUTRE ET LE MÊME / BPM 2016
Vincent Delbrouck, As dust Alights |
jeudi 15 octobre 2015
mardi 13 octobre 2015
Giuseppe Ungaretti, "Où la lumière »
« …/…
Où la lumière n’émeut plus de feuilles,
Soucis et songes débardés sur d’autres rives,
Où le soir s’est posé,
Viens, je te porterai
Aux collines dorée.
L’heure stable, délivrée par l’âge,
dans son halo perdu,
Sera notre lit."
Giuseppe Ungaretti, Où la lumière, 1930
lundi 6 juillet 2015
mardi 16 juin 2015
jeudi 11 juin 2015
VINCENT DELBROUCK / PREPARATION DE RESIDENCE
© Anne Immelé,V.D.site DMC, Mulhouse |
mardi 2 juin 2015
VARIATIONS AUTOUR DE LA CONSTELLATION
Vincent Delbrouck in Anne Immelé, Constellations photographiques, Médiapop Editions |
A propos de Vincent Delbrouck :
"Les grappes de photographies, de papiers divers et de collages traduisent une volonté de mêler une forme documentaire réinventée avec une expérience de la multiplicité, mais aussi de déjouer les codes d'une profession normée…" dans le chapitre Variations autour de la constellation.
Commander auprès de Médiapop éditions
lundi 1 juin 2015
PARUTION DE "CONSTELLATIONS PHOTOGRAPHIQUES"
Anne Immelé, Constellations photographiques, Médiapop Editions, graphisme Starlight |
Constellations of stars rely on the eyes of whoever has chosen and then connected the stars together, in order to create a configuration. The same applies to the photographer who constellates, orientates, then assembles and configures visible fragments. A constellation is a metaphor for photography, consistent with plurality and merging the heterogeneous.
This essay (in french) analyses photography layout practices in the shape of constellations, from a body of works by Wolfgang Tillmans, Raymonde April, Peter Puklus, Antoine d’Agata, Adam Broomberg & Olivier Chanarin, David Favrod, Marine Lanier, Vincent Delbrouck, Sylvain Couzinet-Jacques, Aleix Plademunt, Anouk Kruithof, Archive of Modern Conflict, Vera Schöpe, Mikhael Subotzky and Patrick Waterhouse, Ed Templeton, Anna Meschiari, Tacita Dean, Isabelle Le Minh, Carly Steinbrunn, Christophe Bourguedieu, Sophie Ristelhueber, Michael Schmidt and Christian Milovanoff./
Les constellations d’étoiles n’existent que par le regard de celui qui a choisi puis connecté des étoiles entre elles afin de créer une configuration. De même, le photographe qui constelle va pointer des fragments de visible qu’il va agencer et configurer. La constellation, c’est une métaphore de la photographie, dans une pensée de la multiplicité et du rapprochement des hétérogènes.
Cet essai analyse les pratiques de mises en espace photographiques sous forme de constellations, à partir d’un corpus d’œuvres de Wolfgang Tillmans, Raymonde April, Peter Puklus, Antoine d’Agata, Adam Broomberg & Olivier Chanarin, David Favrod, Marine Lanier, Vincent Delbrouck, Sylvain Couzinet-Jacques, Aleix Plademunt, Anouk Kruithof, Archive of Modern Conflict, Vera Schöpe, Mikhael Subotzky et Patrick Waterhouse, Ed Templeton, Anna Meschiari, Tacita Dean, Isabelle Le Minh, Carly Steinbrunn, Christophe Bourguedieu, Sophie Ristelhueber, Michael Schmidt et Christian Milovanoff.
Médiapop éditions
Langue: Français
Date de publication : 1er juin 15
Format : 12 x 18 cm
Nombre de pages : 128
Isbn : 978-2-918932-36-9
jeudi 30 avril 2015
L’art de disjoncter / Conférence de Jean-Luc Nancy et Anne Immelé
Jean-Luc Nancy et Anne Immelé, CRAC d'Altkirch en 2003 |
La création artistique et littéraire sera abordée dans sa dimension d’articulation. Il sera question de jonction mais aussi de disjonction, de syncopes et de constellations, de littérature, de philosophie et de photographie. A l’occasion de la sortie des ouvrages « Demande. Littérature et philosophie » aux éditions Galilée et « Constellations photographiques » aux éditions Mediapop.
La collaboration entre Jean-Luc Nancy et Anne Immelé a commencé en 2003 avec la sortie de WIR aux éditions Filigranes, puis "L’approche / Die Annäherung" publié en Allemagne puis en France (édition de La phocide sous le titre Le poids de la pensée/l’approche) en 2008, ainsi qu’à une conversation filmée WIR+10 en 2013.
Philosophe, professeur émérite à l’Université des Sciences humaines de Strasbourg, Jean-Luc Nancy a également été professeur de l’Université de Californie (San Diego) et professeur invité aux Universités d’Irvine, Berkeley et Berlin. Il a co-dirigé avec Jacques Derrida, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman la collection « La philosophie en effet » aux éditions Galilée. Autour de Jean-Luc Nancy s'est créée une communauté de pensée, ou plutôt "avec" lui qui a précisément interrogé la notion de "commun". Philosophe toujours, il ne cesse de réinventer le sens de la philosophie comme une pesée, de réévaluer le poids du sens, d'approcher le monde sans prétendre le saisir. Sa pensée est dérobée, ouverte, inquiète, inappropriable, mais elle touche au plus près la peau des choses.
Depuis 2001, Anne Immelé développe des séries photographiques qui s’inscrivent dans un rapport politique et poétique au monde, questionnant la relation de l’individu à la communauté et la possibilité du partage d’une expérience commune dans les villes contemporaines. Photographe et théoricienne, Anne Immelé exerce également une activité de commissariat d’exposition, qui prend appui sur les recherches théoriques. Elle enseigne à la HEAR, Haute école des arts du Rhin.
Mardi 12 mai à 20h
Librairie 47° nord / MULHOUSE / entrée libre
mercredi 15 avril 2015
mercredi 8 avril 2015
WORKTABLE
lundi 2 mars 2015
QUE...NUAGES, Galerie Espace pour l'art, Arles
© Anne Immelé, "But...the clouds |
Un drapeau-nuage est présenté à la galerie arlésienne Espace pour l'art
Depuis l’automne 2014, Anne Immelé, fait fabriquer des petits drapeaux, sur lesquels sont imprimés des images de nuages, qu’elle dissémine à l’échelle mondiale. Chaque participant installe le drapeau dans un espace visible et envoie une photographie en échange du drapeau reçu.
Pour l’instant l’édition comporte 200 drapeaux. Ces petits drapeaux-nuages sont disséminés dans le monde entier et sont visibles, accrochés au façade ou installés dans un espace public : A Mexico, Santiago du Chili, New-York, Baton-Rouge, Escuminac, Chengdu, Tokyo, Kyoto, Le Caire, Alger, Plymouth, Berlin, Alcalà de Henares, Salerne, Arles, Marseille, Paris, Mulhouse, d’autres sont en partance vers l’Ouzbékistan, La Nouvelle Zélande, L’Argentine, la Pologne, le Kosovo.
Galerie "Espace pour l'art"
5 rue Réattu
13200 Arles
Directrice - Laetitia Talbot
04 90 97 23 95
dimanche 15 février 2015
D'UN NUAGE A L'AUTRE
"Photographier les nuages, c’est montrer ce que chacun peut voir librement. Le spectacle des nuages est accessible à tous et à tout moment. Les nuages sont un appel à l’imagination, au sens où Bachelard l’entendait : « elle est plutôt la faculté de déformer les images fournies par notre perception, elle est surtout la faculté de nous libérer des images premières, de changer les images ». Transformer l’image d’un nuage par l’imagination est une activité courante de l’esprit, qui vagabonde à son tour : la mobilité de la pensée en écho à la mobilité des nuages. Si l’image du nuage est associée à la rêverie, elle n’en est pas moins associée à celle de notre nature périssable, mortelle, comme dans les memento mori. Le mouvement des nuages semble le plus à même de figurer la vulnérabilité, la nature instable et mortelle de tout être ou chose." extrait de "Figures de l’éphémère. Sur la dimension de memento mori de la photographie", que j'ai publié en 2012.
samedi 24 janvier 2015
D'UNE A DEUX : ANNE IMMELÉ / ISABELLE GIOVACCHINI
© Anne Immelé, WIR |
© Isabelle Giovacchini et Anne Immelé |
Du 4 février au 2 mars 2015
Vernissage mercredi 4 février 2015 à 18h en présence des artistes
Commissariat : Viviane Zenner
Dans leur pratique respective, Isabelle Giovacchini et Anne Immelé rendent visible un paysage prêt à nous échapper. Loin de s’opposer, ces travaux s’entrepénètrent et se répondent.
Parmi les phénomènes éphémères que sont les variations climatiques, Anne Immelé photographie les brumes, les nuées, les averses, qui cristallisent la relation intime qui se noue entre le regardeur et le paysage. Dans la série WIR, la photographe, relie ces éléments physiques transitoires àdes états de pensées et d’émotions représentés par des portraits - autant de figures du détournement ou de l’engagement. En échos aux visages, Anne Immelé considère le paysage comme expérience sensible, comme une manière d’habiter le monde, en écho au « Je suis ce que je vois » de Paul Valery. Dans son texte Lumière étale, consacré aux photographies du livre WIR, Jean-Luc Nancy écrivait : « Les eaux diaphanes des yeux, leurs humeurs cristallines et vitrées sont étales : ni marée de larmes, ni jusant de froideur, mais le très lent bougéd’un sentiment sûr et fragile qui suspend ces humeurs au contact de l’image, qui leur communique son équilibre mouvant pendant qu’il vient s’étaler contre elles. » ///
« Celui qui se consacre à l’étude des nuages est perdu. » Marcel Beyer
"Isabelle Giovacchini est une adepte des sciences inexactes. Toujours son travail – on pourrait dire ses expériences – puise dans les marges de techniques désuètes. Elle emprunte àl’homme de science lorsqu’il est encore dans l’erreur ou l’approximation, là où l’étude et la recherche manquent souvent de basculer dans la poésie, la mystique ou la folie. Mehr Licht ; idée absurde d’un dispositif capable de produire son ombre rencontre le motif du nuage dont la classification demeure une chimère. L’étude des nuages qui n’a jamais réussi à se constituer en une science se heurte à de nombreux écueils et notamment une mutation constante qui interdit toute modélisation. Ici encore la technique joue comme un élément littéraire : pour le grand tirage mural, l’image exposée a été plongée directement dans un bain de fixateur sans passer par un premier bain de révélateur. L’image reste donc latente, fixée dans l’attente d’une révélation qui n’adviendra pas. Le réel n’a de cesse d’échapper à la technique.
Le motif céruléen apparaît malgré tout, mais étouffé et seulement comme une image au second degré, un cliché pris dans un entrelacs de résonances, de dispositifs incomplets et d’images incertaines. Ce que raconte Isabelle Giovacchini est l’échec attendu de quiconque voudrait regarder le ciel de haut, le glissement de l’éblouissement à l’aveuglement. » Nicolas Giraud, août 2012
Galerie des jours de lunes, 5 rue de l'arsenal, Metz. Du 04 février au 02 mars 2015. Lundi et samedi de 10h à16h. Du mardi au samedi de 9h à 18h.
Galerie des jours de lunes, 5 rue de l'arsenal, Metz. Du 04 février au 02 mars 2015. Lundi et samedi de 10h à16h. Du mardi au samedi de 9h à 18h.
dimanche 4 janvier 2015
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