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mardi 2 avril 2019

COMME UN SOUVENIR... EXPOSITION A LA FONDATION FERNET BRANCA

Salle 2, photographies issues de la série Les Antichambres d'Anne Immelé.
Vue d'exposition par Klaus Stoeber

Salle 2, photographies issues de la série Les Antichambres d'Anne Immelé. 
Vue d'exposition par Klaus Stoeber

Salle 10, photographies issues de la série Les Antichambres
et CLOSER d'Anne Immelé. 
Vue d'exposition par Klaus Stoeber

Salle 2, Sculpture de Pierre-Yves Freund et extrait du Miroir d'Andrei Tarkovski.
Vue d'exposition par Klaus Stoeber

Salle 10, Au sol sculpture de Pierre-Yves Freund. Photographies
issues de la série CLOSER d'Anne Immelé. 
Le temps et la mémoire sont deux aspects majeurs du cinéma d’Andreï Tarkovski. Pour le cinéaste russe l’image est nécessairement poétique, elle a pour vocation d’exprimer la vie à travers le passage du temps. La dimension contemplative du rapport au paysage, l’importance de l’eau sous toutes ses formes, l’imbrication de différentes temporalités et l’errance sont autant d’éléments que l’on retrouve dans la pratique photographique d’Anne Immelé, invitée par la Fondation Fernet-Branca pour cette exposition qui ne se veut pas une illustration, mais une interrogation de l’univers visuel d’Andreï Tarkovski.
Afin de créer un dialogue en écho aux multiples dimensions de l’image chez Tarkovski, Anne Immelé a convoqué les œuvres de Pierre-Yves Freund et Dove Allouche, dont les œuvres sont marquées par le passage du temps. Les sculptures de Pierre-Yves Freund revêtent une dimension de suspend, de questionnements sans réponse ; l’altération et la modification des éléments solides ou liquides résonnent avec les préoccupations esthétiques de Tarkovski. Pour la série Le temps scellé, Dove Allouche est allé photographier les lieux du tournage de Stalker (1979) quelque trente ans après le tournage du film. Il en résulte des paysages chargés de la mémoire du film.



Une exposition pensée par Anne Immelé en résonance avec l’univers visuel d’Andréï Tarkovski

DU 24 FÉVRIER AU 5 MAI 2019 à la Fondation Fernet-Branca de Saint Louis

samedi 26 janvier 2019

COMME UN SOUVENIR… FONDATION FERNET-BRANCA


 © Anne Immelé, Lac noir, 2001




Dove Allouche (Le temps scellé, Collection du FRAC Alsace),
Pierre-Yves Freund, Anne Immelé

Une exposition pensée par Anne Immelé en résonance avec l’univers visuel d’Andréï Tarkovski
Exposition du 24.02.19 au 05.05.19

Le temps et la mémoire sont deux aspects majeurs du cinéma d’Andreï Tarkovski. Pour le cinéaste russe l’image est nécessairement poétique, elle a pour vocation d’exprimer la vie à travers le passage du temps. La dimension contemplative du rapport au paysage, l’importance de l’eau sous toutes ses formes, l’imbrication de différentes temporalités et l’errance sont autant d’éléments que l’on retrouve dans la pratique photographique d’Anne Immelé, invitée par la Fondation Fernet-Branca pour cette exposition qui ne se veut pas une illustration, mais une interrogation de l’univers visuel d’Andreï Tarkovski.
Afin de créer un dialogue en écho aux multiples dimensions de l’image chez Tarkovski, Anne Immelé a convoqué les œuvres de Pierre-Yves Freund et Dove Allouche, dont les œuvres sont marquées par le passage du temps. Les sculptures de Pierre-Yves Freund revêtent une dimension de suspend, de questionnements sans réponse ; l’altération et la modification des éléments solides ou liquides résonnent avec les préoccupations esthétiques de Tarkovski. Pour la série Le temps scellé, Dove Allouche est allé photographier les lieux du tournage de Stalker (1979) quelque trente ans après le tournage du film. Il en résulte des paysages chargés de la mémoire du film.

http://fondationfernet-branca.org

mardi 19 avril 2011

Dove Allouche "Le Temps scellé"



Dove Allouche, Le Temps scellé, 2006, 
Ensemble indissociable de 13 photographies couleur
Collection Frac Alsace, Sélestat

"Le travail de Dove Allouche analyse le passage du temps en cherchant à rendre perceptible l’insaisissable. Le Temps scellé, série de 13 photographies, résulte d’un voyage à Tallin, en Estonie, sur les lieux du tournage du film Stalker (1979) d’Andreï Tarkovski. Dove Allouche a retrouvé les sites de la mystérieuse « zone », dans laquelle se rendent un écrivain, un professeur de physique et un passeur (le « stalker »), à la recherche d’une chambre censée combler les voeux de ceux qui y pénètrent. Les lieux sont quasi intacts, calmes et désolés, seuls les arbres ont poussé. Prises près de trente ans après le tournage du film, ces vues d’un paysage apparemment banal, mais chargé de la mémoire de cette fiction, prolongent l’existence mentale de la « zone » dans le présent du regard de l’artiste, et par delà, lui donne une permanence atemporelle." Olivier Kaeser
La série est présentée dans l'exposition 

L’idée de nature
Entre Land Art, art environnemental
et destruction créative
Commissaire d’exposition : Bettina Steinbrügge

"Depuis des siècles la beauté et le merveilleux de la nature ont été source d'inspiration pour les artistes et les architectes. A partir des années 60, la dégradation évidente et grimpante de la nature et les effets du changement climatique ont imposé à leurs travaux une nouvelle acuité. L'exposition « L'idée de nature » met à jour des concepts issus du Land Art, de l'activisme environnemental, de l'architecture expérimentale et de l'utopisme. La frontière ténue entre art, graphisme et commerce, entre professionnels et amateurs, encourage une réflexion sur les nouvelles possibilités et les défis du monde de l'art en lien avec la nature. Se livrer à l'aventure du paysage signifie non seulement retourner à nos origines mais aussi à la possibilité de reconnaître tout à la fois notre insignifiance et notre magnificence. Aujourd'hui la nature est indissociable d'un monde détruit par l'homme. Elle a perdu tout le caractère mystérieux et sauvage du sublime que les romantiques ont salué en leur temps, à leur époque de strict pragmatisme et de certitudes scientifiques. Le projet « L'idée de nature » est construit à partir des notions de points de vue, de situations, de croyances idéologiques et il s'appuie sur des données politiques, économiques qui explorent le rapport complexe de l'homme à la nature. L'exposition propose une lecture critique qui suppose que le lien qui a toujours existé entre l'homme et son environnement est aussi intrinsèquement celui qui le lie au paysage de sa vie et lui sert de miroir de lui-même. "


Les artistes : Dove ALLOUCHE, Lara ALMARCEGUI, Erik AVERT, David BOENO, Lee FRIEDLÄNDER, Luigi GHIRRI, Laureen GRAWEY, Wiebke GRÖSCH / Frank METZGER, Daniel KNORR, Bernard MONINOT, Elodie PONG, Thiago ROCHA PITTA, Pia RÖNICKE, Roman SIGNER, Eve SIMON, Gerda STEINER & Jörg LENZLINGER, Cy TWOMBLY.
Workshop / Daniel Knorr : François Bauer, Diane Benoit du Rey, Fériel Djenedi, Loïc Kessler, Mathieu Monfourny, Stéphane Ruch.
Exposition du 21.04 au 22.05 
vernissage : 20.04.2011 R 18:30