Au premier plan © Emilie Saccoccio, Indietro, 2016. Au fond, © Clémentine Iaia, Deep End – 2016. |
© Flora Soppa, Série 24Hz – 2016
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© Ivan Fayard, Souffles – 2016 |
© Anne Immelé, Et la mélancolie errante au bord des eaux, 2016 |
© Edouard Boyer, Plongeons, 2016. Polyptique extrait du projet Cover.
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© Camille Grosperrin, Diving Horses – 2016 |
Du 5 mars au 29 mai, le Centre d’art contemporain de la Fondation François Schneider à Wattwiller accueille Plongeons, une exposition d’école réunissant des étudiants, de jeunes artistes diplômés de la HEAR et des artistes-enseignants. Sur le thème du plongeon les travaux des artistes constituent le contenu de cette exposition collective.
Le commissariat est assuré par deux artistes-enseignants de l’option Art, Le Plateau à Mulhouse, Anne Immelé et Edouard Boyer : « Nous avons voulu avoir un mot qui nous entraîne, au pluriel ou à l’impératif, dans un saut mais surtout dans un passage.Nous avons voulu qu’au-delà des générations, cette exposition provoque à la fois des rapprochements, des associations mais favorise également les contrastes entre les œuvres pour témoigner de la complexité créative d’une école d’art comme la HEAR. La hauteur des plongeoirs et la profondeur de l’immersion, le trouble de la surface et le vertige des promontoires, un plongeoir en verre au-dessus des têtes et un bateau qui repose au sol en attendant sa chute, une fontaine aux vœux et des chevaux plongeurs, toute la richesse de notre expérience collective a pu profiter des espaces de la Fondation François Schneider et s’y inventer.
Le commissariat est assuré par deux artistes-enseignants de l’option Art, Le Plateau à Mulhouse, Anne Immelé et Edouard Boyer : « Nous avons voulu avoir un mot qui nous entraîne, au pluriel ou à l’impératif, dans un saut mais surtout dans un passage.Nous avons voulu qu’au-delà des générations, cette exposition provoque à la fois des rapprochements, des associations mais favorise également les contrastes entre les œuvres pour témoigner de la complexité créative d’une école d’art comme la HEAR. La hauteur des plongeoirs et la profondeur de l’immersion, le trouble de la surface et le vertige des promontoires, un plongeoir en verre au-dessus des têtes et un bateau qui repose au sol en attendant sa chute, une fontaine aux vœux et des chevaux plongeurs, toute la richesse de notre expérience collective a pu profiter des espaces de la Fondation François Schneider et s’y inventer.
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