lundi 20 octobre 2003

WIR / FILIGRANE EDITION


© Anne Immelé Image extraite de WIR, p.13
© Anne Immelé Image extraite de WIR, p.37
"Das Buch WIR beinhaltet Schwarz-weiß-Fotos, die ich von 1995  bis 2002 gemacht habe. In diesem Buch erscheinen die ersten Seefotos. Das Wasser hat sich allmählich in Stadtfotos eingeschlichen, die ich in Quebec aufgenommen habe. Ein Schwimmbad in einem Hotel, Ein Robbenschwimmbecken, oder ein leerer Parkplatz: viele Bilder, die an Seen erinnern. Was ich als See bezeichne, ist nicht unbedingt eine « große Süßwasserfläche », sondern im weiteren Sinne irgendein Bereich, irgendeine leere Fläche, die in einem Raum eingeschlossen ist. Immer wieder habe ich nach diesen Formen im Stadtraum gesucht. 1998, zurück im Elsass, nach zwei Jahren in Quebec, habe ich angefangen, vogesische Seen zu fotografieren. Diese Bilder sind mit der Schwere eines Lichtes verbunden, das in seiner spektralen Dimension betrachtet wird. Die Dimension der Lichtspur ist hier mit der Dimension des Erinnerungvermögens der Fotografie zu verbinden." A.Immelé (Traduction du français par Sabine Clochey)


© Anne Immelé Image extraite de WIR p.29

"Le livre WIR réuni des photographies prises de 1995 à 2002, en noir et blanc. C’est dans ce livre, qu’apparaissent les premières photos de lacs. L'eau s'est immiscée peu à peu dans des photographies urbaines prises au Québec. Une piscine dans un hôtel, un bassin d’otaries, ou un parking vide : autant d’images rappelant les lacs. Ce que je nomme « lac » n’est pas uniquement une « grande nappe d’eau douce », c’est par extension, toute étendue, toute aire vide enserrée dans un espace. De manière récurrente, j’ai recherché ces formes dans l’espace urbain. En 1998, de retour en Alsace, après deux ans au Québec, j'ai commencé à photographier des lacs vosgiens.  Je voulais me confronter directement à la surface de l'eau qui, dans mes photos, est un élément existentiel nous renvoyant à nous-même. Dans le livre WIR, ces photos de lacs sont associées avec des vues urbaines et des personnages pris dans leur pensées. Les images sont reliées par la pesanteur d’une lumière considérée dans sa dimension spectrale. La dimension de trace, d’empreinte lumineuse est à relier ici avec la dimension mémorielle de la photo."
http://www.filigranes.com

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